Voilier HARMATTAM
Coup d’Ouest en rade Nouméa, le navire HARMATTAM décroche de son mouillage, traverse la baie de l’Orphelinat et vient rencontrer les rochers de la pointe de l’artillerie, mais à l’entrée de la petite marina.
A l’entrée de la marina
Grand mât émergeant
L’HARMATTAM coulé
A l’entrée de la marina apparaît un grand mât émergeant de la surface. Le voilier HARMATTAM a été drossé sur les rocher, sa coque bâbord s’est froissée et déchirée. Le navire se retrouve sombré ; l’étrave de coque posée sur les rochers et la poupe enfoncée dans la vase.
Pont avant submergé
Etrave posée sur rochers
Etrave drossée côté bâbord
L’endroit est lugubre, peu de visibiité. Le voilier en acier de 15T gît sur des fonds vaseux et obscurs.
L’épave en acier obstruante doit être dégagée pour laisser l’accès dégagé à l’entrée de la marina.
Renflouement épave et évacuation
Remorquage sur Nouville
Epave sur point de levage
L’équipe d’ETSM/PRODIVE met son matériel de renflouement en oeuvre. L’apave en acier est relevé et acheminé sur un point le levage vers Nouville.
l’HARMATTAM est ramené au plus près du bord de nouveau sur des rochers. Les opérations de grutage pompage et extraction peuvent commencer.
Saisissement par sanglage
Grutage pour mise à terre
2 camions grue mis en oeuvre
La voilier est sasie sanglée, dans le position qu’il sera posé au sol. Un assèchement total des cales a permis de soulager le navire de quelques tonnes de liquide.
Malgré tout, la masse métallique a nécessité l’intervention de deux camions grue en simultané pour l’extraction de cette l’épave de 15T.
L’épave de l’HARMATTAM
Prêt pour le démantèlement
Tôles acier complètement froisées
L’épave du navire ‘HARMATTAM est désormais au sec. Malheureusement, la coque acier drossée sur les rochers est complètement froissée et déchirée sur bâbord. Le navire est déclaré épave. Il ne reprendra plus la mer et pourra être démantelé sur le terre plein du port Autonome de Nouville.
Fin de vie pour le voilier HARMATTAM et plus de navigation dans le grand lagon Calédonien !
Au grand désespoire de son propriétaire…
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